Voyager à vélo en autonomie : 5 bonnes raisons pour choisir la Nouvelle-Zélande
Choisir une destination de voyage à vélo relève souvent d’une alchimie imparfaite : Un défi lancé çà la cantonade, un rêve, des amis au bout du monde, que sais-je encore d’étrangement singulier.
Cependant, ce type de voyage coche toujours les cases inscrites dans son ADN : Prouver sa liberté, satisfaire sa curiosité, favoriser ses rencontres, assurer sa contemplation et favoriser sa vélo-réflexion intérieure.
Choisir la Nouvelle Zélande n’échappe pas à cette règle. Avec le temps qui passe je pourrais également ajouter une autre clause incontournable : s’adapter à ses moyens physiques, ce que Michel Onfray appelle de ses vœux « ne pas transformer son voyage en chemin de croix ».
Le choix de partir découvrir Aotearoa, «le pays du long nuage blanc» comme l’ont nommé les Maoris, peuple premier de la Nouvelle Zélande, obéit à tous ces critères mais aussi à des points très spécifiques :
– Explorer la planète rugby à partir des liens établis par l’ASM Clermont Auvergne. Retrouver des contacts de joueurs, décrypter l’enseignement du rugby en NZ primary scool.
– Retrouver les descendants d’aviateurs décédés dans le crash du 5 mars 1944 près d’Orcival inhumés au cimetière des Carmes
– Revoir différents contacts établis au Chili avec des voyageurs résidents en NZ
– Découvrir les espaces et la faune sauvage de l’île du sud
– Pédaler avec un moindre danger de coalisions, d’animaux sauvages et avec une bonne médicalisation potentielle
Le constat de départ est désormais établit dans ses détails originels. Pourtant, il suffirait comme pour tous les autres voyages de s’inspirer pour le résumer de ce proverbe Touareg :
« Voyager c’est aller de soi vers soi en passant par les autres »